Portraits de Femmes

Portraits de Femmes

  • Oser pour exister et inspirer, elles nous racontent leur parcours

    Nous vous donnons rendez-vous pour la 3ieme saison avec plus de femmes dont leur portraits sauront vont vous inspirer et vous motiver.

    La deuxième saison de « Portraits de Femmes » arrive à son terme. Nous avons eu l’insigne honneur de faire connaissance avec une bonne dizaine de femmes établies en France, aux parcours et histoires les uns aussi inspirants que les autres. La saison fut enrichissante. Les femmes diffèrent toutes de par leurs personnalités, de par leur centre d’intérêt et parfois même par de par le secteur d’activité auquel elles s’adonnent. Mais elles se rencontrent toutes dans un seul et même combat : celui d’exister et d’inspirer par leurs actions et leurs réalisations.

    Exister dans un monde conçu pour les hommes en étant femmes n’est pas chose aisée. Il leur a fallu du courage, de la détermination, de la persévérance… Bref, elles devaient oser. Oser comme Bettina Mass nous le suggère : « Tremblez, mais osez », aime-t-elle répéter. Car, ce n’est que de cette façon qu’on arrivera à bannir la peur en nous pour ensuite se jeter dans l’arène.

    « Des fois, on attend d’être parfaits, alors qu’on oublie que la peur est un sentiment qui sera toujours là et qu’il faut affronter. C’est en l’affrontant qu’on est en mesure de passer à l’action », nous apprend-elle.

    Murielle Greffin Larochel n’en dément pas. Il faut réprimer la peur de commettre des erreurs et d’échouer. Car, selon elle, se tromper fait partie intégrante du parcours d’un entrepreneur. Pour Stéphania Prucien, il n’y a pas d’échecs. On apprend et on tire des vraies leçons. Le mot d’ordre ici c’est de ne jamais lâcher prise, de toujours continuer à aller de l’avant. ”Rien n’est impossible à celui qui croit”. Tout comme Hashley Auguste, Stéphania fait de cette citation le moteur de sa vie. Sophie Bazile dira même

    qu’«avec un talent ordinaire et une persévérance extraordinaire, tout est possible ». 

    Ce que ça coûte de réussir

    D’un autre côté, s’il est vrai qu’il faut avoir foi en ses capacités pour agir, il est tout aussi important de s’astreindre à une discipline rigoureuse pour espérer mettre toutes les chances de son côté afin de réussir. La motivation d’Emilia Mambissa nous apprend beaucoup en ce sens. Elle qui veut toujours repousser ses limites, se mettre tout le temps à l’épreuve. On ne peut qu’admirer ce qu’elle a déjà accompli avec Femme d’Influence dont elle est la Directrice Marketing.

    Cette autodiscipline requiert également de la passion et d’une bonne dose de créativité. De la passion comme celle de Immacula Hélène Suprien pour la littérature et l’enseignement. Ou encore comme celle de Lydia Antoine pour les médias et la culture. On n’oubliera pas non plus Aissé Diakité pour qui, à côté de cette passion pour l’écriture, l’humain doit être au centre de tout.

    Pour ce qui est de la créativité, Murielle Kabile vit dans un monde à part. Fusionner la coiffure et la haute couture dans une seule et même création est un coup de maître. Il faudrait être imprégné d’une audace insolente pour tenter une pareille chose. Et pourtant elle l’a fait. Et c’est réussi. Aujourd’hui ses œuvres inspirent. Son art conscientise et émerveille.

    Influencer en donnant l’exemple

    En regardant le parcours de ces dames, en écoutant leurs histoires, en étant témoin de leur succès, l’on comprend mieux pourquoi Sarah Yakan fait de cette citation de Rosa Parks sa source d’inspiration : « Il faut vivre sa vie en essayant d’en faire un modèle pour les autres ». Oui, ces femmes ont beaucoup à raconter. Et nous avons beaucoup à apprendre d’elles.

    C’est ce qui définit d’ailleurs le bien-fondé de cette rubrique – « Portraits de Femmes » – sur notre blog. À Entr’elles, nous voulons montrer que toutes les femmes, indépendamment de leurs origines, de leur structure épidermique, peuvent influencer à travers ce qu’elles ont vécu. Nous voulons mettre en avant leur leadership et inviter d’autres femmes à s’en inspirer dans leur quête de développement personnel.

    À toutes ces grandes dames qui ont permis la réussite de cette saison, nous leur disons un grand merci. Leur contribution est inestimable. Nous espérons vivement que leur parcours vont inspirer et que ces portraits ont été d’une grande utilité pour nos chères lectrices. À ces dernières, déjà nous leur donnons rendez-vous pour la prochaine saison

     

  • Sarah Yakan, la conceptrice de Femme d’Influence

    Le concept plaît énormément. Car, nombreuses sont les femmes qui ont déjà tiré des leçons de vie en lisant leur magazine, qui ont profité de leur école en ligne pour se former en entrepreneuriat ou qui ont déjà visité leur site de fournitures pour faire des achats. Mais très peu d’entre elles connaissent vraiment l’esprit brillant et ingénieux qui est à l’origine de ce merveilleux projet. Ce faisant, Entr’elles prend plaisir à vous faire découvrir Sarah Yakan, jeune entrepreneure, fondatrice et co-gérante de Femme d’Influence.

    Vous avez sans nul doute déjà entendu parler de Femme d’Influence qui est un concept purement féminin, orienté principalement vers le développement personnel. Aussi avez-vous certainement remarqué qu’elles sont nombreuses les femmes qui ont déjà tiré des leçons de vie en lisant leur magazine, qui ont profité de leur école en ligne pour se former en entrepreneuriat ou qui ont déjà visité leur site de fournitures pour faire des achats. Mais très peu d’entre elles connaissent vraiment l’esprit brillant et ingénieux qui est à l’origine de ce merveilleux projet. Ce faisant, Entr’elles prend plaisir à vous faire découvrir Sarah Yakan, jeune entrepreneure, fondatrice et co-gérante de Femme d’Influence.

    « Il faut vivre sa vie en essayant d’en faire un modèle pour les autres ».

    En disant cela, Rosa Parks ignorait très certainement qu’elle allait contribuer à la création d’un vaste mouvement dédié au développement personnel des femmes, et dont la portée va dépasser les deux millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Sarah, pour qui cette citation de Rosa Parks est devenue une source d’inspiration, ignorait également qu’elle allait rencontrer le succès aussi rapidement. En effet, un mois après le lancement du magazine Femme d’Influence sur Facebook, la page comptait déjà 50 000 abonnés. « C’était incroyable ! », se souvient-elle.

    Le concept plaît énormément. Et pourtant ce n’était pas gagné d’avance. Oser un tel pari qui, de manière subtile, propulsera la femme noire au-devant de la scène, tout en vulgarisant des thématiques conduisant vers l’empowerment féminin dans le milieu francophone, relève d’une audace frisant même l’insolence. Peu de gens auraient été assez courageux pour s’engager dans une telle entreprise.

    « Il est vrai que lorsque j’ai lancé Femme d’Influence, peu de magazines francophones s’intéressaient à la question du développement personnel. On en parlait, mais c’était encore très psychologique, et seulement une certaine partie des gens s’y intéressait. Femme d’Influence a démocratisé ce concept. Je pense que le succès vient avant tout de là finalement », révèle-t-elle.

    Un projet soigneusement préparé

    Pari tenu, pari gagné. Cette année, Femme d’Influence vient de souffler sa cinquième bougie. Depuis la date fatidique du 8 mars 2015 qui concorde au lancement du magazine, bien de chemins ont été parcourus. Une communauté est créée. Une clientèle est fidélisée. Et bien de mentalités ont évolué.

    Quoique rien ne le présageait, le succès que connaît le concept Femme d’Influence n’a rien d’un hasard. C’est le fruit d’un projet soigneusement préparé, d’un sujet très bien travaillé. La création du site internet a pris du temps, beaucoup d’efforts ont été consentis. Tout le parcours de Sarah Yakan s’accommodait à cet objectif. De ses études en communication à ses stages dans des médias féminins, tout a été mis en place pour entretenir le rêve qu’elle nourrissait depuis toute petite. Et l’idée de la création d’un magazine qui mettrait en avant les femmes noires, sans pour autant se déverser dans l’apologie de leur africanité vient à point nommé. Les expériences qu’elle a faites dans le milieu journalistique n’ont fait qu’exacerber son désir, et l’ont aidé à mieux comprendre l’impact des médias féminins auprès de la gente féminine.

    De la gestion quotidienne de l’entreprise

    À présent, l’entreprise occupe l’essentiel du quotidien de Sarah. Tous les jours, elle corrige et valide les articles à publier. Elle veille au respect de l’image de marque sur les réseaux sociaux, crée des formations sur l’entrepreneuriat et des sites pour ses différentes activités. Elle participe également aux réflexions sur la mise en place des stratégies qui serviront à accroître l’entreprise.

    Ces activités lui ont permis de développer sa créativité, laquelle est un élément essentiel dans la gestion de l’entreprise.

    « Je sais faire des visuels sur Photoshop, mais si je n’avais pas la créativité, je n’aurai pas su comment les développer. Je sais créer des sites d’internet, mais si je n’avais pas la créativité, je n’aurai pas su comment les composer. La créativité est le talent que je travaille le plus pour faire ce que je fais et toujours innover », reconnaît-elle.

    Inspirée par les gens qui évoluent dans son entourage, elle en fait la clé de sa réussite. Tout ce qu’elle propose est déterminé par les aspirations des gens, par les problèmes qu’ils rencontrent ou par les besoins qui se font sentir. Être capable de se mettre à la place des autres est ce qu’elle croit qui fait la différence chez elle.

    Maintenant que son entreprise est définitivement lancée, son plus gros challenge est de la faire prospérer. Le Pouvoir, le Savoir, l’Argent, la Beauté sont jusque-là la combinaison parfaite qui a permis cette belle réussite.

  • Pour Emilia Mambissa, dépasser ses limites conduit au sommet de la réussite

    Emilia est l’une de ces femmes qui montrent tout ce qu’il est possible d’accomplir en se mettant à l’épreuve et en repoussant ses limites pour réussir.

    Derrière tout projet d’envergure se trouvent des personnes extraordinaires qui ont su donner de leur temps, de leur énergie, de leur ingéniosité pour atteindre le sommet. À la fois Directrice Marketing et Co-Gérante de Femme d’Influence – une entreprise féminine qui regroupe un magazine, une école en ligne et un site de fournitures –, Emilia Mambissa est de ces femmes qui montrent par l’exemple ce qu’il est possible d’accomplir en se mettant constamment à l’épreuve et en repoussant ses limites.

    S’il faut définir Emilia Mambissa en un mot, l’on ne peut trouver mieux que le terme ”pragmatique” comme qualificatif. Son travail, son monde à elle tourne autour de cela. Tout se base sur du concret. « No dreams. Only plans » (Pas de rêves. Seulement des projets). C’est d’ailleurs cette citation qui résume sa philosophie de vie.

    Emilia est une femme de pouvoir. Ce n’est pas par hasard qu’elle fait d’Oprah Winfrey son modèle. Celle qu’elle considère comme l’incarnation même du pouvoir. Ainsi doit-elle aussi influencer. Et pour cela, il faut toujours avoir une vision et des projets. L’on ne peut passer sa vie à rêver.

    « Dans la vie, c’est bien d’avoir des rêves. Mais à un moment donné, ça doit devenir une réalité », avise-t-elle.

    Toujours à la limite du possible

    Cela va de soi de préciser qu’Emilia est très exigeante avec elle-même, et qu’elle adore le défi. Ce n’est pas dans ses habitudes de s’asseoir sur ses lauriers. Elle veut toujours repousser ses limites. Des qualités qui vont de pair avec son champ d’activité. Car, en tant que Directrice Marketing de Femme d’Influence, elle doit constamment se réinventer, toujours élaborer de nouvelles stratégies pour développer la vente des produits et services de l’entreprise. Et tout cela, en prenant en compte l’environnement de la marque ainsi que la tendance du marché.

    C’est à elle que revient la charge de gérer, en interne, les recettes et les dépenses qui doivent servir de mener à bien les projets de développement de l’entreprise. C’est elle également qui s’occupe du pôle évènementiel de la société, lequel a pour but de favoriser la promotion des produits et services auprès du public. 

    Si Emilia doit son succès à son état d’esprit et à ses grandes ambitions, son expérience au sein de différents médias y est aussi pour quelque chose.

    « Ça m’a permis de comprendre le fonctionnement de la presse et de la radio », reconnaît-elle en prenant du recul.

    Diplômée d’un BAC+5 en marketing digital, elle a pu acquérir diverses compétences dans ce secteur ainsi que dans celui de la communication durant ces sept dernières années. Ce qui fait que pratiquement rien dans ce milieu ne lui est étranger.

    Fort de cette expérience, et aussi de celle qu’elle a pu acquérir dans le milieu de l’événementiel, elle a réussi à se faire un carnet d’adresses bien fourni, à développer un réseau solide, et à identifier les attentes des femmes.

    Un métier exigeant

    Sa force réside dans sa capacité d’observation et d’adaptation quand vient le moment d’élaborer de nouvelles stratégies pour son entreprise. Elle est consciente des énormes responsabilités qui reposent sur ses épaules. Son poste exige d’elle un travail méticuleux. Elle n’a pas droit à l’erreur. Et, elle le sait. Mais son caractère qui veut qu’elle repousse aussi loin que possible ses limites prend le dessus à chaque fois.

    « Chaque décision a un impact sur l’entreprise. Il faut donc bien travailler en interne la stratégie de son business afin qu’elle soit efficace en externe. Je trouve qu’il est important de faire de la veille afin de connaître les tendances sur le marché et de s’adapter au mieux », explique-t-elle.

    Très peu bavarde sur sa vie privée, Emilia est de cette catégorie de gens dont le travail devient une passion. Toujours dépasser ses limites, aller le plus loin possible… Elle ne jure que par cela. Aussi, la rigueur, la créativité et une bonne capacité d’adaptation sont autant d’attributs qu’elle croit nécessaires à une solide expérience professionnelle dans le marketing digital. Impossible n’est pas Emilia Mambissa..